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a belle figure de Pauline Jaricot (1799-1862) qui est à l’origine de l’œuvre de la Propagation de la foi, a suscité aussi la fondation du « rosaire vivant » pour ré-évangéliser les milieux éloignés de la pratique. L’œuvre de Pauline continue aujourd’hui à travers différents mouvements.
L’un d’eux, « les missionnaires du rosaire vivant », compte déjà à Lyon 30 équipes.
Comme Pauline le souhaitait en 1826, les membres ont pour mission de porter la lumière du Christ qui est en eux depuis le baptême. Bien des jeunes retrouvent le chemin de la prière. Les Missionnaires du rosaire vivant veulent participer à ce renouveau sous la mouvance du Saint-Esprit. La prière du chapelet, si simple apparemment, transforme et convertit nos cœurs, en nous renouvelant à la vie de Jésus. Marie mère de notre Dieu conduit à Jésus.
Les petits groupes des Missionnaires du rosaire vivant se rassemblent pour prier aux intentions du Pape, de l’Eglise universelle et de leur évêque. Ils offrent également leur dizaine pour obtenir des vocations dont nous avons tant besoin. Sous la conduite de Marie, à la rencontre du Dieu vivant et vrai, les communautés peuvent recevoir d’abondantes grâces : une plus grande foi, la parole de Dieu mieux entendue, méditée et vécue, la charité dilatant nos cœurs. Par ce chemin de sainteté nous essayons de devenir davantage amis de Jésus dans notre vie de tous les jours.
Le cardinal Philippe Barbarin a vivement encouragé cette œuvre dès son origine, en octobre 2005.
Renseignements : Elisabeth d’Escayrac